Each group continues working on the same whistleblower to explore the case further. Since you have more time, you are expected to find a wider variety of documents (newspaper articles, interviews, reports on the overall case, academic articles, books, …)
Archives pour la catégorie ICC402
Further readings on whistleblowing
- The Economist, 2002 on Consquences of whistleblowing careers
- The Economist, 2011 on Corporate whistleblowers
- Financial Times, 2012 on The Whistleblowers Club
- Fortune, 2013 on A case of whistleblowing in the medical industry
- The Economist, 2014 on Risk management and fraud
- Vanity Fair, 2014 about Edward Snowden
ICC402 Case study on whistleblowing
In her 2012 Financial Times article, Carola Hoyos presents eight UK cases of whistleblowers. They are all widely known and their stories have been told in many medias through interviews, reports, and critical analysis. Brought together, they provide a representative panel of whistleblowing in terms of diversity of organizations, profiles, sectors and motives.
What is whistleblowing?
Les lanceurs d’alerte
Introduction
Les whistleblowers, ou lanceurs d’alerte, sont devenus un sujet de plus en plus important ces dernières années. En éthique des affaires, comme dans le sport, lancer l’alerte revient à tirer le signal d’alarme lorsque les règles du jeu ne sont pas respectées. Mais contrairement aux arbitres d’un match de football, les lanceurs d’alerte dans les entreprises ne sont pas des observateurs objectifs et indépendants, mais plutôt des employés ou des parties prenantes qui signalent les mauvais comportements de collègues ou d’entreprises. Les lanceurs d’alertes sont des individus convaincus qu’il existe un risque grave si un comportement non éthique n’est pas révélé au public. Et d’ailleurs, les effondrements d’Enron et de WorldCom au début du siècle ont montré clairement les dangers des comportements non éthiques. Dans ces deux cas, les lanceurs d’alertes étaient des employés – et il se trouve qu’elles étaient des femmes. Sherron Watkins (Enron) et Cynthia Cooper (WorldCom) illustrent parfaitement le dilemme que rencontrent les lanceurs d’alertes face à leurs révélations publiques. Bien qu’elles n’aient pas pu éviter les effondrements de leurs entreprises, toutes deux ont été reconnues pour leur courage. Toutes deux étaient convaincues qu’en révélant les mauvais comportements, elles agissaient dans l’intérêt de leur entreprise et de leurs parties prenantes.